Je suis Xavier, fondateur de Bebevendsesfringues et gestionnaire d’une agence de communication de la région Toulousaine
En 2 ou 3 phrases, que propose votre startup?:
bebevendsesfringues.com propose aux parents (mais pas qu’eux) de revendre vêtements, jouets, mobiliers, articles de puériculture de leurs enfants de 0 à 16 ans mais aussi de trouver de bonnes affaires pour leurs bouts de choux !
Comment êtes vous arrivé à la création d’entreprise? :
Au départ, ce site a été créé pour faire face à un besoin personnel (notre fille envahissait la maison avec les cartons de notre petit fils) mais au bout d’un an, devant le succès du site, nous avons décidé de créer la SAS Bébé vend ses fringues pour gérer le site en toute autonomie.
Quelles ont été les bonnes surprises dans votre aventure entrepreneuriale? :
Le succès du site évidemment, je ne pensais pas, au bout de 14 mois d’existence, que le site fédèrerait 22800 membres avec plus de 7600 annonces en ligne (au total ce sont près de 12000 annonces qui ont été déposées depuis la création du site)
Des mauvaises surprises? :
Le fait que, à part nous, les pros n’ont pas eu confiance dans le projet; résultat: nous avons dû investir toutes nos économies et « piocher » dans les finances de mon agence de com pour lancer et faire vivre bebevendsesfringues
Votre startup c’est 100% de votre vie? :
Aujourd’hui ? quasiment !
Je passe autant de temps sur mon agence que sur bebevendsesfringues, et mon épouse y passe tout son temps !
Des projets à venir? :
Ho que oui ! tout d’abord continuer à développer le site sur sa lancée mais très prochainement, l’ouvrir sur les pays Francophones européens puis nous lancer à l’international
Un scoop sur vous ou votre startup? :
Allez, je lâche le morceau … nous venons de racheter pourleskids.com qui était N°3 du segment annonces pour les enfants au niveau Français afin de conforter notre place de leader Français mais la porte n’est pas fermée au rachat d’autres « concurrents sérieux » afin de devenir « la référence » du secteur d’ici la fin de l’année.
Alors heureux (se)? :
Evidemment, même si les finances manquent et que soutenir une telle aventure est parfois compliquée par les temps qui courent
Le mot de la fin ? :
J’attends qu’une bonne fée se penche sur le berceau e-de notre « Bébé » en nous apportant, pourquoi pas, des investisseurs potentiels mais aussi des journalistes séduits par notre projet et qui pourraient en parler dans les médias (appel du pied) !
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