Kevin Bosc, co-fondateur de Refer Me Please: « Il ne faut pas avoir peur des ascenseurs émotionnels »


Qui êtes vous ? :
Kevin Bosc, 28 ans, français d’origine et habitant actuellement sur Dublin depuis maintenant 3 ans. 
 
En 2 ou 3 phrases, que propose votre startup?:
En quelques mots, Refer Me Please est une plateforme de mise en relation entre des candidats et des employés afin de procéder à du recrutement par cooptation. Les employés prennent directement contact avec les candidats, échangent et donnent eux-mêmes le CV aux personnes concernées (ressources humaines ou manager)
 
Comment êtes vous arrivé à la création d’entreprise? :
Après 3 ans passés chez Google, je souhaitais du changement, un nouveau challenge, une nouvelle motivation pour me lever le matin.
En travaillant chez Google, je me suis aperçu de l’engouement des employés pour participer au recrutement de nouvelles personnes. Mais aucune plateforme n’était disponible pour le faciliter. J’ai donc décidé de me donner à 100% dedans et de quitter Google afin de lancer ma start-up.
 
Quelles ont été les bonnes surprises dans votre aventure entrepreneuriale? :
La liberté que cela procure. Nous prenons la direction que nous voulons, et mettons en place la stratégie qui nous semble la meilleure. C’est également une aventure très enrichissante, que ce soit sur le plan intellectuel ou humain. N’ayant jamais crée d’entreprise avant, je dois continuellement apprendre, m’améliorer et me perfectionner pour que le projet soit le meilleur possible.
 
Des mauvaises surprises? :
Le stress! Créer une start up n’est pas une aventure de tout repos, et il ne faut pas avoir peur des ascenseurs émotionnels! Mais ce stress est un peu comme le café du matin, la motivation nécessaire pour faire encore mieux que la veille!
 
Votre startup c’est 100% de votre vie? :
100% de ma vie, 6 jours sur 7, 13h de travail par jour en moyenne. Monter sa start up, c’est se dévouer entièrement au projet. 
 
Des projets à venir? :
Développer le nombre d’utilisateurs sur le site, créer une application dédiée et ouvrir des bureaux aux USA pour acquérir plus efficacement ce marché.
 
Un scoop sur vous ou votre startup? :
Lorsque je souligne le fait que j’ai quitté une entreprise telle que Google pour lancer ma start up, on me dit souvent que je suis fou ou que je suis courageux, tout dépend du point de vue!
 
Alors heureux (se)? :
Heureux! Je ne regrette absolument pas de m’être lancé dans l’aventure entrepreneuriale car c’est pour moi la meilleure école qui soit et le plus beau des accomplissements.
 
Le mot de la fin ? :
Si vous vous demandez encore: Dois-je me lancer dans l’aventure? je n’ai pas de capitaux….etc. Je vous dis: Allez-y. Même sans capitaux, vous pouvez faire de grandes choses. Mais soyez à 2000% dedans!
 
Vos profils en ligne :
Twitter: @kjbosc


Kokou Adzo

Kokou is a fervent advocate for the seamless fusion of business and technology, he has always been at the forefront of innovation. Graduating from two esteemed European institutions, the University of Siena in Italy and the University of Rennes in France, he mastered the nuances of Communications and Political Science. With a diverse educational background, Kokou consistently offers insights that reflect his deep understanding of the modern digital landscape shaped by both commerce and governance. Those who have the privilege to read his pieces or collaborate with him are invariably inspired by his vision of a world where business meets tech not just at the crossroads of necessity but at the pinnacle of innovation.

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